5 choses à savoir pour bien mesurer ses engagements RSE
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Frédéric Marie, Directeur Général France & Ibérie chez Stibo Systems, explique les vertus qu’il y a, pour les entreprises, à déployer une stratégie RSE structurée, clairement définie et pensée, en misant sur les outils idoines pour mettre en œuvre cette politique RSE avec efficacité.
1- Pourquoi déployer une stratégie RSE ?
Mettre en place une stratégie RSE répond à des besoins multiples, de la part des entreprises. Nous pouvons citer quatre éléments principaux. Il y a d’abord, au-delà de toute considération sociale ou écologique, un aspect réglementaire qui, dans les années à venir, ne pourra que prendre de l’importance, et auquel les entreprises devront évidemment répondre, en se dotant des outils qui leur permettront de le faire.
Il y a aussi l’évolution des mentalités, et notamment celle des jeunes générations, qui ne consomment plus de la même façon qu’il y a quelques années. Celles-ci basent leurs choix et leurs décisions d’achats sur des critères que l’on n’imaginait même pas il y encore cinq ou six ans de cela : quelle est l’empreinte carbone du produit que j’envisage d’acheter ? Quelle a été la consommation d’eau pour le fabriquer ? etc. Si une entreprise n’est pas capable de répondre à ces questions, alors elle prend le risque de perdre ses clients.
Une entreprise impliquée qui gère efficacement et honnêtement ses critères environnementaux et de gouvernance distillera un message très positif à ses collaborateurs.
Troisième axe à mes yeux essentiel, celui qui a trait aux équipes, en interne. Une entreprise impliquée, qui gère efficacement et honnêtement ses critères environnementaux et de gouvernance, distillera un message très positif à ses collaborateurs qui, en retour, avanceront sans doute avec un autre état d’esprit, plus vertueux.
Enfin, le quatrième élément, lié au précédent, concerne le recrutement. Les jeunes générations, celles qui sortent des écoles, sont soucieuses de ces enjeux liés à la RSE. Ce sont des questions importantes à leurs yeux, avant de choisir un poste. Si une entreprise ne leur présente pas un projet clair, elles ne répondront pas favorablement aux offres d’emploi.
2- Mettre en place et suivre au plus près son plan d’action
Quand une entreprise s’engage dans une stratégie RSE, elle doit le faire d’une manière sérieuse, en mettant en place un plan d’action clairement défini. En la matière, il n’y a pas de recettes miracles. Cela va dépendre notamment de la structure de l’entreprise, suivant qu’elle soit grande ou plus petite, comme cela va dépendre de ses ambitions et de son système de gouvernance.
La seule règle d’or est de ne jamais fixer des ambitions inatteignables.
Pour autant, si le plan d’action en lui-même variera suivant les cas, il sera toujours possible de faire en sorte qu’il soit ambitieux et plurisectoriel. On peut ainsi très bien mener des actions en parallèle, travailler à la fois sur ses flux logistiques d’un côté et, d’un autre côté, travailler sur la question de l’organisation des règles de voyage au sein de l’entreprise, par exemple, même si ce sont deux axes très différents.
La seule règle d’or, toujours, est de ne jamais fixer des ambitions inatteignables. C’est ce qu’il y a de pire. L’autre point clé est de savoir rester humble : viser ainsi le « zéro empreinte carbone » n’a aucun sens pour une entreprise… puisque ce n’est pas possible. Afficher une telle ambition ne peut donc être que contre-productif.
3 - Savoir définir et gérer ses datas
Une fois son plan d’action déterminé, il faut ensuite savoir mesurer les choses et, pour les mesurer, il faut disposer d’indicateurs fiables et précis. Par exemple, si une entreprise choisit de diminuer son empreinte carbone, elle doit pouvoir suivre au plus près tous les indicateurs à disposition, sur ce créneau particulier de l’empreinte carbone, afin d’être capable de bien se rendre compte, au fil du temps, des progrès réalisés ou, à l’inverse, des changements qui ne sont pas assez rapides, voire qui ne vont pas dans le bon sens. Pour cela, la data est la clé.
il faut savoir mesurer les choses et pour cela il est impératif de disposer d’indicateurs fiables et précis.
Mais encore faut-il savoir quelles sortes de datas. Un distributeur, par exemple, ne peut pas uniquement s’appuyer sur les données fournies par ses partenaires industriels. Il va forcément devoir les comparer avec des données « neutres », pour coller au plus près de la réalité. Et, dans un contexte de profusion des sources, l’un des principaux problèmes, dans les années à venir, va être de savoir normaliser les choses. Quelles sont les sources ? Comment sont effectués les calculs ? Il existe aujourd’hui pléthore de sources, gouvernementales ou pas, standardisées ou pas.
L’un des défis, demain, va être de pouvoir disposer de sources fiables, disponibles et, de surcroît, acceptées par tous. Dans le secteur de l’alimentaire, les choses sont déjà assez normées, structurées mais, dans le textile, par exemple, elles le sont nettement moins… La notion de tiers de confiance, sur lequel s’appuyer les yeux fermés, est loin d’être encore la norme, même si l’on sent que l’on va vers cela.
4- Le Master Data Management (MDM) : un outil clé pour une stratégie efficace
Si les datas sont la clé, on l’a vu, encore faut-il ensuite les collecter, les consolider, les agréger et, surtout, savoir en faire quelque chose en toute transparence, les exploiter au mieux. Pour cela, il faut des outils précis et c’est le rôle dévolu au Master Data Management (MDM) qui, en ce sens, s’avère d’une aide essentielle. Ce MDM, pour faire simple, est une plateforme permettant d’embarquer de la donnée, d’origine interne ou externe, de la structurer, de l’administrer et de la gouverner, de l’enrichir et, enfin, de la publier.
En résumé, c’est le référentiel clé pour piloter sa stratégie RSE avec efficacité, en en suivant les évolutions au plus près, au fil du temps. C’est ce MDM qui va permettre de trouver l’information source de confiance, dont toute entreprise a besoin pour accompagner le déploiement de sa stratégie RSE. Ce MDM, évidemment, est modélisable et paramétrable en fonction des besoins de chaque entreprise et s’administre avec des systèmes propres aux entreprises, définies par elles. Tout passe par lui et, ainsi, tout devient transparent et avec une totale traçabilité : qui a modifié quoi, quand et pourquoi, à quel moment du cycle de vie de la donnée… Tout se retrouve dans ce MDM, qui devient donc l’outil clé à mettre en place pour toute stratégie efficace.
En savoir plus sur le Sustainability Master Data Management :
5- Organiser la gouvernance de ses données
Disposer d’un MDM, c’est bien, l’exploiter pour en tirer son maximum, c’est mieux. L’erreur que l’on rencontre encore trop souvent consiste à considérer son MDM comme un projet purement IT. Or, c’est tout sauf un projet informatique : cela doit être un projet métier ! Quand on met en place un MDM, il faut aussi mettre en place un changement dans l’entreprise. J’entends par là que l’entreprise doit s’organiser pour faire en sorte que ce projet soit le mieux pensé et organisé possible, pour être ensuite le mieux géré possible, et ce depuis l’amont même. Pour aider les entreprises dans cette voie, nous disposons, chez Stibo Systems, d’une solution qui permet de gérer toutes ces complexités via un système unique. C’est la même interface, la même brique qui se connecte, et qui s’adapte à tous les systèmes mis en place par les entreprises, quels qu’ils soient.
C’est bien sûr une plateforme entièrement paramétrable et adaptable. Elle offre ainsi la possibilité de définir des rôles et des privilèges à la demande, rôles et privilèges qui seront le reflet des modes de gouvernance souhaitées par les entreprises. Elles veulent un modèle de gouvernance central, en délimitant très clairement qui aura le droit de faire quoi ? La plateforme Stibo Systems le permet. Elles désirent plutôt un modèle plus souple et hybride, mêlant les fonctionnalités d’une gouvernance centrale avec, malgré tout, des adaptations au local, par pays ou par BU ? C’est possible, aussi.
Comme il n’y a évidemment pas une organisation type, à dérouler quelle que soit l’entreprise mais bien, au contraire, autant d’organisations qu’il y a d’entreprises et de besoins, nous avons voulu proposer une solution « couteau suisse », malléable à volonté, que des entreprises comme Saint-Gobain, Schneider Electric, Auchan, Adeo, Kellogg’s, Siemens, Sony, Toyota ou encore Adidas, pour s’en tenir à ces quelques exemples, ont déjà adopté. Ainsi, les entreprises se donnent toutes les chances de remplir leurs objectifs RSE, sans que cela apparaisse comme une contrainte mais bien, plutôt, comme faisant partie de leur ADN même.
A propos de Stibo Systems :
Stibo Systems, leader en solutions de Master Data Management (MDM), est le partenaire de confiance pour la transparence des données. Nos solutions accompagnent les entreprises innovantes du monde entier qui exploitent la valeur stratégique de leurs données, quel que soit leur domaine de référence (données produits, données clients, données fournisseurs…). Grâce à nos solutions PIM, PXM, MDM multi-domaines, nous leur donnons les moyens d’améliorer l’expérience client, de rationaliser leurs processus, de stimuler l’innovation, la croissance et de créer le socle essentiel de leur transformation numérique. Ainsi, les entreprises ont une vue unique et précise de leurs référentiels de données ce qui leur permet de prendre des décisions éclairées et ainsi d’atteindre leurs objectifs de performance mais aussi de RSE. Stibo Systems est une filiale privée de la fondation Stibo Group A/S, fondée en 1794 et dont le siège est à Aarhus, au Danemark. Plus d’information sur stibosystems.com/fr/.